L’Airfryer c’est définitivement terminé : voici le nouvel appareil qui incarne le futur de la cuisine en 2025

Un multicuiseur polyvalent change les règles et transforme la préparation des repas à la maison

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Le quotidien culinaire évolue à une vitesse surprenante. Après avoir dominé les cuisines, l’Airfryer voit désormais son règne remis en question. Une innovation prend le relais, transformant nos habitudes et redessinant l’avenir de la préparation des repas. Plus qu’un simple outil, elle incarne une nouvelle manière de cuisiner, alliant praticité, gain de temps et modernité dans chaque geste.

Pourquoi Airfryer s’efface devant une solution totale

Selon lycee-eca.fr, les cuisines réclament moins d’encombrement, plus de polyvalence. Le Ninja Foodi PossibleCooker, un multicuiseur, remplace huit appareils et libère les plans de travail. Sa cuve de 6,6 litres nourrit une grande tablée, tandis que la fonte émaillée résiste aux rayures. Le nettoyage reste facile, la durabilité convainc, et la prise en main rassure.

Les fonctions se cumulent sans effort: mijoteuse, cocotte, poêle, vapeur, sauteuse, cuiseur à pâtes, cuiseur à riz, réchaud. Chaque mode répond à un besoin précis, sans accessoires superflus, et simplifie le quotidien. On cuisine large, on cuisine juste, et on garde de la place. Le geste devient naturel, l’organisation suit, et l’ordre revient.

Le chauffage reste uniforme sur toute la surface, donc la cuisson suit au millimètre. L’interface guide chacun pas à pas, même un débutant. Cette logique fluide rend l’expérience plaisante, car tout semble prévu. Airfryer devient un repère du passé, tandis que la polyvalence s’impose.

La technique devient simple, le temps et l’espace se gagnent

Les techniques de chef deviennent abordables sans complication. On saisit fort, puis on passe en cuisson lente, sans changer de récipient. Les viandes dorent d’abord, puis la tendreté s’installe. Le résultat paraît professionnel, car la procédure reste claire, logique, et réglée au degré près.

Les repères rassurent: 232 °C pour saisir, 107 °C pour mijoter, 100 °C pour vapeur, 200 °C pour le four. On suit ces seuils simples, et l’assiette gagne en régularité. Le couvercle hermétique contient les saveurs, donc le goût reste net. Les plats gardent leur caractère, tandis que la texture tient mieux à table.

La compatibilité plaques et four ouvre le jeu. On démarre sur la cuisinière, puis on finit au four, sans transvaser. Le même récipient traverse les étapes, ce qui limite la vaisselle et accélère le rythme. Le temps s’allège, la fatigue aussi, et Airfryer perd un avantage décisif.

Quand Airfryer cède sa place à la polyvalence

Le budget compte, l’espace aussi, donc la décision se calcule. À 179,99 euros, le multicuiseur remplace des achats multiples. Une cocotte en fonte de qualité dépasse souvent 100 euros à elle seule. Le rapport usage-prix devient évident, car un seul outil répond à plusieurs scénarios.

Les petites cuisines gagnent immédiatement: un appareil, plusieurs rôles, et des placards moins chargés. La robustesse rassure au quotidien, la cuve s’use peu, et l’entretien reste rapide. Le plan de travail respire, l’esprit aussi, et la cuisine retrouve du plaisir franc.

Le marché suit la même trajectoire. Après l’enthousiasme pour les friteuses à air, la demande glisse vers des solutions intégrales. Le multicuiseur s’adapte aux menus variés sans effort de plus. Ainsi, Airfryer cède le terrain à une approche complète, mobile, et prête pour 2025.

Une décision éclairée pour moderniser sans multiplier les appareils

Ce choix aligne budget, place, et qualité, sans renoncer au plaisir de cuisiner. Un multicuiseur concentré simplifie chaque étape, réduit la vaisselle, et augmente la constance. Les repères de température guident en confiance, tandis que la finition protège l’investissement au quotidien. Ainsi, Airfryer devient le souvenir d’une mode, et la cuisine gagne en liberté durable, concrète. Chaque repas profite d’une méthode claire, reproductible, et sereine.

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