Carrefour, But, Primark… Voici la liste des enseignes qui sont restées fermées partout en France le 10 septembre

Une journée de fermetures, de gares saturées et d’habitudes bousculées a marqué les foyers français

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Le 10 septembre 2025 avait surpris par l’ampleur des actions coordonnées, car grèves, blocages et fermetures avaient ralenti la vie courante dans tout le pays. Le mouvement « Bloquons tout », appuyé par la CGT, avait porté un signal fort et fédérateur. Les enseignes majeures, des transports aux commerces, avaient réduit la voilure ou fermé, ce qui avait laissé les clients dans l’incertitude.

Ce que les enseignes avaient fermé ce jour-là

D’après agrisur.fr, les annonces d’austérité avaient déclenché la colère : suppression de jours fériés, gel des retraites, coupes budgétaires jugées lourdes. Une taxe sur la masse salariale était redoutée, et le malaise avait grandi. Le collectif « Bloquons tout », relayé par la CGT, avait rassemblé public et privé, des enseignants aux cheminots, des soignants aux employés du commerce.

Dans les métropoles et les zones périurbaines, l’activité avait ralenti. Des blocages routiers coordonnés avaient freiné les flux vers zones commerciales, dépôts et plateformes logistiques. Hypermarchés et magasins spécialisés avaient modulé leur réponse, car la participation du personnel variait, ce qui avait rendu l’ouverture imprévisible pour la clientèle.

Des marques visibles avaient incarné la journée. Carrefour, But, Kiabi et Primark avaient annoncé fermetures ponctuelles ou ouvertures tardives pour aligner des équipes réduites. L’affichage en magasin était resté changeant, tandis que la clientèle avait anticipé ses achats sans certitude. Ce premier axe avait surtout touché les enseignes.

Perturbations, clients déroutés et enseignes sous pression

Les rayons avaient connu des ruptures temporaires sur l’alimentation, l’hygiène et les premiers besoins, car l’acheminement avait ralenti et que la main-d’œuvre avait manqué. Les supermarchés et hypermarchés avaient dû canaliser la fréquentation, tandis que des sites logistiques stratégiques avaient subi des actions symboliques devant leurs entrées.

Les horaires avaient changé selon les sites. Certains points de vente avaient fermé toute la journée ; d’autres avaient choisi des créneaux réduits. Ces décisions, annoncées par affichage, avaient brouillé les repères, car l’uniformité n’existait pas. La clientèle avait multiplié les visites courtes ou s’était tournée vers la proximité.

Le commerce spécialisé avait suivi le mouvement. Équipement, habillement et décoration avaient connu des coupures de service, parfois localisées. Des chaînes avaient soutenu la mobilisation par un ralentissement volontaire, tandis que d’autres avaient préféré un fil minimum pour éviter le black-out. La pression avait pesé sur les enseignes.

Transports, écoles et services publics : une journée à l’arrêt

Les transports avaient concentré la gêne. Le trafic SNCF et RATP avait tourné au ralenti, avec trains supprimés et retards en cascade. Les gares s’étaient vite saturées, car des correspondances tombaient dès l’aube. Les automobilistes avaient affronté des files, puisque des axes stratégiques étaient visés par des blocages.

Le monde scolaire avait été touché. Des établissements avaient fermé, car enseignants et personnels avaient suivi le mot d’ordre ou qu’un accès sûr n’existait plus. Des parents avaient gardé les enfants à la maison, tandis que d’autres avaient cherché des solutions de dernière minute. Cantines et périscolaire avaient réduit la voilure.

Le débat public s’était fortement élargi. Le « versement mobilité » s’était invité dans les discussions sur le coût du travail et la cohérence des choix budgétaires. Pouvoir d’achat et droits sociaux semblaient reculer, ce qui avait cristallisé l’inquiétude au-delà des enseignes.

Ce que la journée a révélé du pays en tension

Cette date avait acté un bras de fer social, car des groupes organisés avaient tenu leur ligne. Le quotidien avait ralenti, des grandes surfaces aux transports, tandis que des familles s’étaient adaptées. Les enseignes avaient donné l’alerte la plus visible, cependant le vrai message tenait à l’équilibre des efforts, qui avait paru fragile aux yeux d’une partie du pays.

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