Bertrand Cantat en couple : à 61 ans il s’installe dans les Landes avec une jeune femme de 30 ans plus jeune, “C’est sa compagne”

Entre Landes silencieuses, enquête relancée et famille sous tension, l’ombre d’un passé persiste encore longtemps.

Publié le

Sous le feu de nouvelles révélations, Bertrand Cantat vit désormais loin des caméras, dans un village des Landes. L’ancien chanteur de Noir Désir s’entoure de silence, car les regards persistent et la parole se raréfie. Des témoignages relancent les questions sur son passé, tandis que son présent s’écrit en retrait, entre attente, doutes, prudence et une vigilance constante face au tumulte.

Dans les Landes, Bertrand Cantat mène une vie recluse

D’après mariefrance.fr, à Moustey, il se tient à distance, car l’anonymat protège un quotidien fragile et encadré. Le voisinage parle peu, un détail revient, révélateur d’un retrait choisi. Il refuse de sortir, donc la maison devient refuge, tandis que les jours se ressemblent, sans écart visible, et l’ennui impose un tempo discret.

Un buraliste confie une scène, car c’est la compagne qui achète les cigarettes, puis rentre vite, presque sans un mot. Elle dit qu’il est déprimé et reste éloigné du jardin. Le tableau paraît figé, cependant il dit aussi l’usure des nerfs, tandis que la discrétion gouverne chaque geste du foyer.

La jeune femme serait au moins de trente ans plus jeune et aurait connu Milo au lycée. Le fils, vingt-huit ans, a pris ses distances, car le lien s’est rompu. Ce retrait familial alimente des spéculations, nourrit des récits opposés, mais la maison garde ses secrets autour de Bertrand Cantat.

Nouvelles révélations et enquête relancent le passé de Bertrand Cantat

Un documentaire sur Netflix, “De rockstar à tueur : le cas Cantat”, concentre les regards, car des témoins évoquent des violences conjugales et “suicide forcé” contesté. Le récit bouscule certitudes et questionne des gestes, tandis que des voix nouvelles décrivent un climat de pressions et de peurs tues, toujours en mémoire.

Dans ce sillage, le parquet de Bordeaux a ouvert une enquête pour “violences volontaires par conjoint”, le vingt-quatre juillet dernier. La relance judiciaire ne conclut rien, car elle vérifie, mais elle réexamine des faits sensibles. L’écho médiatique grandit, timelines se croisent, et Bertrand Cantat compose avec la pression et répercussions.

En mars deux mille vingt-cinq, près de douze ans après le féminicide de Marie Trintignant, le passé revient au premier plan et rallume la curiosité. Les dates s’entrechoquent, car la chronologie intime et publique ne coïncide plus. Ce décalage nourrit l’attention, alors que les proches affrontent d’interrogations et protègent l’espace.

Le parcours de Milo et d’Alice, marqués mais résilients

Avant ce tourbillon, deux enfants grandissaient loin des projecteurs. Milo est né en mille neuf cent quatre-vingt-dix-huit et Alice en deux mille deux. Ils ont suivi des écoles publiques, car la normalité apaise, tandis que la famille évitait les réseaux sociaux et les expositions, puisque la discrétion guidait chaque choix.

Devenu rappeur sous le nom Mylaw, Milo a publié un EP et avance, car il trace sa voie, avec repères. Selon le magazine, il a rompu avec son père. La coupure paraît nette, elle confirme une autonomie née d’épreuves, autour de Bertrand Cantat, et d’une volonté de maîtriser son rythme.

Alice reste proche de son père, néanmoins elle suit sa route. Elle explore l’anthropologie visuelle et dirige “Ponts et passages”, car elle cherche sens dans les images et les récits. Elle a ajouté Rády à son nom, la mémoire compte, tandis que les blessures d’hier persistent, sans vraiment s’effacer longtemps.

Ce que révèle ce présent discret dans les Landes aujourd’hui

Vie recluse, enquête relancée, et famille en mouvement composent un tableau nuancé et instable. Le silence protège, mais la lumière revient souvent, car elle s’attache aux zones d’ombre et persiste. Dans ce cadre mouvant, Bertrand Cantat avance à pas mesurés, tandis que les proches cherchent des équilibres, redéfinissent leurs places, et que l’opinion, attentive, reste suspendue entre doute, attente et vigilance.

Faites passer le mot : partagez cet article avec vos proches.