Une vie publique intense n’empêche pas de chérir des instants simples. David Pujadas s’accorde une respiration loin des plateaux, dans un lieu où le temps s’écoule différemment. Ce choix, marqué par un attachement sincère, révèle une fidélité qui dépasse les projecteurs. C’est une parenthèse discrète qui façonne son équilibre et nourrit son quotidien exigeant.
Dans le Var, des racines et des heures apaisées
D’après purepeople.com, en août, il détaille son été à Gala. Il alterne voyages en famille et retrouvailles dans deux vieilles maisons. L’une se trouve en Aveyron, l’autre dans le Var où vivent encore ses parents. Ce rituel sécurise l’agenda chargé. Il maintient une continuité affective, malgré le tempo des directs.
Dans le Var, il convie parfois des proches. Frédéric Lopez revient souvent, présenté comme son meilleur ami. « C’est comme un frère, on se dit tout », confie-t-il. Ces séjours tissent une bulle claire autour de David Pujadas. Elle mêle famille, amitié fidèle et repos, sans protocole, sans caméra. Rien d’affiché.
Les deux maisons organisent la pause. Elles offrent des repères stables, entre grand air et souvenirs. La présence des parents renforce ce sentiment simple. On partage des repas, on parle longtemps, on rit. Le rythme du soir retombe, et chacun retrouve une place qui calme et recentre. Sans effort. Tout paraît évident.
À Najac, David Pujadas retrouve une histoire vivante
Najac compte 700 habitants, posés sur les collines de l’Aveyron. Il y vient chaque été depuis des années, par fidélité à ses grands-parents. Au micro de RTL, il l’a dit sans détour : il aime cette vie tranquille. Ici, David Pujadas ralentit, observe, et se recentre sans bruit. Rien ne presse ici.
Il loge dans une maison héritée de son arrière-grand-père, ancien receveur du bureau de poste. La bâtisse vaut peu d’un point de vue financier. Sa valeur intime est immense. Chaque objet raconte une histoire, chaque marche rappelle un geste. On s’y tient droit, avec respect tranquille. Le passé rassure.
Le village déroule ses ruelles pavées et sa forteresse médiévale. Le château, symbole local, n’a jamais été pris. Il a toujours tenu. Cette force muette nourrit l’endroit. On suit les sentiers, on écoute le vent, on regarde loin. Le temps semble large, la mémoire reste active. Tout tient ensemble.
Le quotidien télévisé et les échappées de David Pujadas
Sa trajectoire reste dense. Ex-présentateur du 20 heures de France 2, il conduit depuis 2017 des émissions sur LCI. Chaque soir, « 24h Pujadas » s’étire de 18 h à 20 h. Le direct exige de l’énergie, de la précision, des choix clairs. Le studio concentre tout, pendant deux heures. La tension est réelle.
Cette cadence s’accorde avec une vie de père. Il a quatre enfants, nés de deux mères. L’équilibre nécessite des repères. Les retours hors antenne sécurisent les liens. Au fil des années, David Pujadas garde la même boussole : travailler avec rigueur, tenir ses promesses, protéger ce qui compte. Rien n’est laissé au hasard.
Ces échappées remplissent les batteries. Elles s’écrivent dans le Var et en Aveyron, au même rythme calme. On ferme la porte, on marche, on parle tard. Les écrans se taisent. Le lendemain paraît plus simple. Le travail retrouve de la netteté. La vie garde une ligne claire. Sans excès.
Pourquoi ce retour aux sources reste sa boussole intime
Au fond, ce choix raconte une cohérence. Entre l’antenne et l’ombre, David Pujadas préfère l’équilibre plutôt que l’apparat. La maison héritée et le village de 700 habitants ne sont pas des décors. Ils forment un socle, utile quand la lumière chauffe. On y respire mieux, on pense juste, et l’on revient plus fort. Cette constance apaise et porte la suite.